J’ai toujours aimé les mots, les histoires, les livres. J’ai toujours aimé l’écriture…

Apprendre à lire et à écrire a été la source d’un grand bonheur. Ce sont ces belles émotions, et d’autres encore, que j’ai eu envie de partager en devenant “maîtresse d’école”. Ma formation à l’Ecole Normale d’instituteurs a confirmé mon goût pour l’enseignement et j’ai eu l’occasion de travailler avec des classes de tous les niveaux de l’école maternelle et élémentaire.

J’ai toujours accordé beaucoup d’attention à l’enseignement de l’écriture cursive, persuadée que la bonne maîtrise de l’écriture était un atout majeur dans la scolarité d’un enfant mais aussi dans la vie d’un adulte

Aujourd’hui, le numérique révolutionne nos échanges et la tentation existe de se dispenser d’un bon apprentissage de l’écriture cursive, d’avoir recours au clavier, parfois de manière exclusive. Pourtant, l’un n’exclut pas l’autre. Si le clavier permet de communiquer, l’écriture cursive offre un espace de créativité, d’expression de soi, de liberté, irremplaçable. Des études récentes ont en outre démontré l’avantage de l’écriture cursive dans le traitement de l’information reçue et dans sa mémorisation..

Convaincue de l’importance de la maîtrise de cette écriture, convaincue de la pertinence et de l’efficacité de la méthode Dumont, je me suis formée à son cours et suis maintenant rééducatrice du geste d’écriture..

• La 1ère séance aide à cerner les difficultés d’écriture et à engager les premiers exercices de rééducation.


• La 2ème séance a lieu, en principe, une semaine plus tard..


• Les séances suivantes : sont souvent espacées de 3 semaines.


• Entre 2 séances, des exercices doivent être faits quotidiennement. Le temps ne doit pas excéder 15 min.


• La réussite de la rééducation dépend de l’investissement de l’élève et du bon respect des consignes.